vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

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Messagede pit le Ven 14 Déc 2012 03:18

Dans les rues, dans les transports en commun, devant les commerces et les écoles... Les caméras se multiplient ! La vidéo-surveillance enregistre nos faits et gestes au quotidien, alors que les dispositifs de contrôle ne cessent de s’intensifier et de se perfectionner.

Dans ce contexte, "Sous-surveillance.net" propose un outil de lutte. Ce projet permet à chaque ville de se doter facilement d’un site local de cartographie des caméras, publiques comme privées, qui filment l’espace public.

Cette cartographie est participative, collaborative et accessible au plus grand nombre. Elle permet de rendre visible la prolifération des caméras tout en collectant un maximum d’informations les concernant. Dès maintenant, chacun et chacune peut s’approprier le site, lutter, agir, participer, partager ses idées, informer, consulter la revue de presse et se réapproprier l’espace urbain !

Plusieurs collectifs de villes ont déjà lancé leur site ou préparent son lancement. Participez à la cartographie ou, mieux, rejoignez le collectif local.


Lyon : http://lyon.sous-surveillance.net/

Marseille : http://marseille.sous-surveillance.net/

Paris : http://paris.sous-surveillance.net/

Toulouse : http://toulouse.sous-surveillance.net/

Clermont-Ferrand : http://clermont-ferrand.sous-surveillance.net/

Rennes : http://rennes.sous-surveillance.net/

Tours : http://tours.sous-surveillance.net/

Bourges : http://bourges.sous-surveillance.net/

Angers : http://angers.sous-surveillance.net/

Dijon : http://dijon.sous-surveillance.net/

Luxembourg : http://luxembourg.sous-surveillance.net/


çà se développe...

Emission de "Demain Le Grand Soir", sur radio béton Tours, sur ce sujet :
http://demainlegrandsoir.org/spip.php?article1054
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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede Nadejda le Ven 14 Déc 2012 12:32

Ca existe pour Montpellier aussi

http://opendata.montpelliernumerique.fr ... cameras-de


Mais je crois que c'est pas tout à fait à jour.
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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede Béatrice le Dim 30 Déc 2012 01:28

Et pour illustrer le propos de ce topic dans un cadre général :

Libertés publiques
2013 : comment l’Europe se prépare à espionner ses citoyens

Par Rachel Knaebel

19 décembre 2012

Biométrie, vidéosurveillance, drones, détection des comportements anormaux, modèles mathématiques pour identifier des suspects...
L’Union européenne finance plus de 190 programmes de recherche sur la sécurité et la surveillance. Au grand bénéfice des industriels, qui recyclent les technologies militaires pour surveiller les populations. Alors qu’un nouveau programme de recherche est en cours de discussion à Bruxelles, l’Europe continuera-t-elle à céder aux lobbys industriels et à investir des milliards dans le marché de la sécurité ?

Ils portent des noms étranges : Tiramisu, Pandora, Lotus, Emphasis, Fidelity, Virtuoso… En apparence, ce sont d’inoffensifs acronymes. En réalité, ils cachent 195 projets européens de recherche dans le domaine de la sécurité et de la surveillance. Des projets relativement inquiétants pour nos libertés. Et financés par l’Europe dans le cadre de partenariats public-privé.

Exemple le plus emblématique : le projet Indect (« Système d’information intelligent soutenant l’observation, la recherche et la détection pour la sécurité des citoyens en milieu urbain »), lancé il y a quatre ans, dénoncé fin octobre par des manifestations dans toute l’Europe. Indect vise à permettre une « détection automatique » des menaces et des situations dangereuses – comme les cambriolages – ou « l’usage d’objets dangereux » – couteaux ou armes à feu. Tout est bon pour combattre « le terrorisme et d’autres activités criminelles comme le trafic d’êtres humains ou la pornographie pédophile ». Et assurer la sécurité des citoyens... Sauf qu’il s’agit aussi avec Indect de détecter « automatiquement » (sic) les comportements suspects, à partir d’images de vidéosurveillance, de données audio ou échangées sur le net. Bienvenue dans Minority Report !

Détecter les comportements « anormaux »

Concrètement, Indect est un système de surveillance, qui, à partir d’images et de sons captés dans l’espace public et d’informations glanées sur Internet, alerterait les services de police en cas de situation jugée dangereuse : des personnes immobiles dans une rue passante, un mouvement de foule, des véhicules qui roulent au ralenti, un appel louche sur un réseau social. Ces critères « d’anormalité » seront définis par les forces de sécurité... Le tout alimentera un moteur de recherche. En plus d’espionner l’espace public, Indect assurera « la surveillance automatique et en continu de ressources publiques, comme les sites web, forums de discussion, réseaux P2P ou systèmes informatiques individuels ». Mais rassurez-vous : des outils pour masquer certaines données privées, comme les visages ou les plaques d’immatriculation sur les images vidéos, sont prévus. Les informations doivent être cryptées avant leur transmission aux services autorisés. Ouf !

Parmi les instituts de recherche qui participent au projet, aux côtés de plusieurs polices et entreprises [1], celui de l’université de Wuppertal en Allemagne est spécialisé en sécurité des transports et en protection civile contre les catastrophes. L’université vante les effets positifs que pourraient avoir ces techniques pour prévenir une situation comme celle de la Love Parade de Duisbourg, en 2010, où 21 personnes sont mortes dans un mouvement de foule.

Dans le cadre d’Indect, il développe des modèles mathématiques pour évaluer, à partir d’images de vidéosurveillance, la vitesse des objets, ou « pour détecter le mouvement dans un domaine dangereux, comme les voies dans une gare », explique le porte-parole de l’université, Johannes Bunsch – le seul officiellement autorisé à parler du projet. Courir pour attraper un train, réagir avec un geste brusque, et vous voilà dans le moteur de recherche auquel se connectent les services de police. « Le système peut très bien détecter une personne nouant ses lacets dans un magasin ou prenant des photos dans un hall d’aéroport, et considérer cela comme un comportement “anormal”. En réalité, le système ne sait pas s’il s’agit d’un comportement indésirable. Il détecte simplement un comportement qui s’écarte des comportements normaux que nous lui avons appris », illustre le professeur Dariu Gavrila (cité par le site Owni) qui, au sein de l’université d’Amsterdam, travaille sur des algorithmes pour détecter les comportements agressifs.

Car le but affirmé d’Indect est bien de lutter contre la criminalité et le terrorisme, non pas d’éviter les carambolages sur les autoroutes ou les mouvements de panique tragiques. Et ce, grâce à l’Union européenne qui finance 75% du projet (15 millions d’euros au total). « Nous ne développons que des procédés techniques, se défend prudemment le porte-parole. La compétence de décider comment utiliser la technologie revient aux politiques ». C’est bien là le problème : qui contrôle ces programmes de recherche et à qui bénéficieront-ils ?

Police et entreprises dans le comité d’éthique

Pour répondre aux critiques, Indect s’est doté d’un comité d’éthique. Sa composition laisse songeur : parmi les neuf membres, on retrouve deux chefs des services de police impliqués et un industriel d’une des entreprises participantes... Son principe semble pour le moins ambigu : « La maxime "si vous n’avez rien fait de mal, alors vous n’avez rien à craindre" n’est valable que si tous les aspects de la justice criminelle fonctionnent parfaitement, dans toutes les occasions. » [2] Faut-il comprendre qu’un citoyen qui tombe par erreur dans les mailles sécuritaires d’Indect n’aura que peu de chance de s’en sortir !? « Les comités d’éthique qui accompagnent les projets comme celui d’Indect sont plutôt des alibis, estime l’eurodéputé allemand Jan Phillip Albrecht (Vert), qui a fait partie du comité d’éthique du projet Addpriv, qui vise à créer des outils pour limiter le stockage de données jugées inutiles et rendre les systèmes de vidéosurveillance « plus compatibles » avec le droit à la vie privée des citoyens.

Indect est loin d’être le seul programme espion généreusement financé par l’UE. Arena [3] vise à créer un système mobile de surveillance, et est subventionné à hauteur de 3 millions d’euros. Subito repère les propriétaires de bagages non identifiés. Samurai signifie « surveillance des comportements suspects et anormaux à l’aide d’un réseau de caméras et de capteurs pour une meilleure connaissance des situations » [4], dans les aéroports et les espaces publics. Il s’agit d’un système de vidéosurveillance avec caméras fixes et mobiles – sur des agents de police en patrouille par exemple –, équipées de capteurs permettant de suivre une personne, de retrouver le propriétaire d’un bagage abandonné ou celui d’un véhicule garé dans un lieu public. Des essais se sont déroulés en 2009 dans l’aéroport londonien d’Heathrow. Bruxelles lui a accordé 2,5 millions d’euros.

L’enveloppe européenne pour ces dispositifs s’élève à 1,4 milliards d’euros sur cinq ans [5]. Cette future surveillance généralisée se décline dans les transports ferroviaires, les aéroports, et sur les mers, avec des projets notamment conçus pour refouler les migrants. Ce programme soulève de nombreuses questions, d’autant qu’il échappe à tout contrôle démocratique et toute objection de la société civile. « Les représentants de la société civile, les parlementaires, tout comme les organisations en charge des libertés civiles et des libertés fondamentales, dont les autorités de protection des données, ont largement été mis de côté », alerte un rapport commandé par le Parlement européen en 2010 [6]. Vive l’Europe des citoyens !

Une politique de surveillance façonnée par les industriels

Pas d’élus ni d’organisations non gouvernementales, mais une omniprésence des grandes entreprises du secteur de la sécurité et de la défense ! En particulier les Français : le groupe aéronautique franco-allemand EADS, et ses filiales Cassidian et Astrium, participent à près de 20 projets différents. Thales France en suit 22 projets et en coordonne cinq. Sagem et Morpho, deux filiales du groupe français Safran, participent à 17 projets, qui incluent la mise au point de drones de surveillance, ou la conception de passeports et de fichiers biométriques. Chacun avec des millions d’euros de subventions. Des recherches qui assureront sans nul doute de nombreux débouchés pour ces technologies sécuritaires, en Europe et au-delà.

Pourquoi une telle présence ? « Ce sont en majorité de grandes sociétés de défense, les mêmes qui ont participé à la définition du Programme de recherche européen en matière de sécurité, qui sont les principaux bénéficiaires des fonds », pointe l’étude du Parlement européen. Plusieurs multinationales – dont, côté français EADS, Thales, ou Sagem [7] – ont étroitement participé à la définition du programme de recherche lui-même. Depuis 2003, leurs représentants et PDG conseillent la Commission européenne sur le sujet, via différents groupes de travail et comités, qui ont pour mission d’établir les priorités de la politique européenne de recherche en sécurité [8]. A se demander qui, des multinationales ou des institutions élues, définit la politique de sécurité européenne ! « Ce qui intéresse les entreprises du secteur, ce n’est pas tant de surveiller les populations que de faire de l’argent », analyse Jean-Claude Vitran, de la Ligue des droits de l’homme.

Recycler les technologies militaires

C’est que le marché européen de la sécurité vaut de l’or. Entre 26 et 36 milliards d’euros. Et 180 000 emplois, selon la Commission européenne, qui estime qu’au cours des dix dernières années, la taille du marché mondial de la sécurité « a quasiment décuplé, passant de quelque 10 milliards d’euros à environ 100 milliards d’euros en 2011. » [9] Mais Bruxelles craint pour la compétitivité des firmes européennes. La solution ? Développer « un véritable marché intérieur des technologies de la sécurité », explique Antonio Tajani, vice-président de la Commission en charge des entreprises. Un marché essentiel pour consolider la position des entreprises du secteur. Pour y parvenir, Bruxelles veut exploiter les synergies « entre la recherche en matière de sécurité (civile) et la recherche dans le domaine de la défense ». Une stratégie duale : les technologies développées à des fins militaires peuvent aussi se vendre sur le marché intérieur de la sécurité civile, pour la surveillance des migrants, des citoyens, des transports et des espaces publics.

« Les industriels de la défense sont conscients que le marché militaire peut s’appliquer à la sécurité civile. Et qu’ils peuvent en faire leurs choux gras », ajoute Jean-Claude Vitran. Les entreprises du secteur profitent des fonds de soutien à la recherche, à tous les niveaux. En plus du volet sécurité du programme de recherche européen, au moins sept pays européens ont lancé depuis des programmes nationaux, dont la France, avec le programme « Concepts, systèmes et outils pour la sécurité globale » de l’Agence nationale de la recherche. Le secteur n’est visiblement pas soumis à l’austérité.

Vers un contrôle plus grand du Parlement ?

Et ce n’est pas terminé ! Ce septième programme-cadre européen prendra fin en 2013. Mais l’industrie de la sécurité n’a pas de souci à se faire. Le budget du prochain programme, Horizon 2020, valable pour la période 2014-2020, devrait augmenter. La commission de la recherche et de l’industrie du Parlement européen a adopté le 28 novembre une première proposition [10]. Le montant global alloué à la recherche dépendra des discussions entre chefs de gouvernement des pays membres. Une chose est sûre : un volet entier sera de nouveau dédié à la sécurité civile, qui devrait recevoir 2,1% du montant global du programme-cadre. Soit 1,6 milliard d’euros. L’industrie de la sécurité dispose d’un allié au cœur du processus législatif européen. L’un des rapporteurs du texte Horizon 2020, le député conservateur allemand Christian Ehler, est président du conseil d’administration de la German european security association (GESA), une organisation lobbyiste qui regroupe des représentants de l’industrie allemande de la sécurité, de la recherche et des politiques.

« 2 % du paquet recherche, c’est beaucoup trop. Si ça n’avait tenu qu’à nous, il n’y aurait pas eu de chapitre « sécurité » dans ce programme, souligne Philippe Lamberts, eurodéputé belge (Vert), autre rapporteur du projet Horizon 2020. Le budget européen de recherche n’est pas énorme. Il faut choisir ses priorités. Il y a d’autres domaines de recherche qui sont plus brûlants pour la sécurité européenne, comme l’indépendance en énergie ou en ressources. »

Les élus verts du Parlement européen ont réussi à introduire des critères d’impact social dans le programme. Tous les appels à projets dans le domaine de la sécurité devront être soumis à une évaluation préalable de leurs conséquences, sur les droits fondamentaux par exemple. « Auparavant, le facteur principal pour choisir les projets, c’était la croissance potentielle de la branche, rappelle le député vert Jan Philipp Albrecht. Il faut des lignes directrices, liées au respect des libertés. Nous avons des restrictions éthiques similaires dans le domaine de la recherche sur les cellules souches. Il faut que soit clairement établi dans quel cadre on a le droit de chercher pour recevoir les fonds européens, et dans quelle limite. » Et surtout permettre aux citoyens de garder le contrôle sur un ensemble de projets qui peuvent remettre sérieusement en cause les libertés publiques. A moins que la « compétitivité » des grands groupes du secteur de la sécurité ne prenne, une fois de plus, le dessus.

Rachel Knaebel


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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede pit le Lun 4 Fév 2013 02:48

projections discution sur la vidéo surveillance

jeudi 14 février à 20h30 venez déclarer votre flamme à la vidéo-surveillance !

petites projections autour de la vidéo surveillance suivi d'une discussion, sur les enjeux autour de la vidéo surveillance et du contrôle social.

l'Etincelle, 26 rue Maillé, Angers.


Image
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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede robin le Dim 2 Juin 2013 16:21

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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede robin le Jeu 12 Sep 2013 17:14

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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede robin le Sam 5 Oct 2013 15:13

Nouvelle épidémie de vidéosurveillance à Lyon
http://rebellyon.info/Nouvelle-epidemie-de.html
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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede phil31 le Sam 16 Nov 2013 13:12

qu'ils continuent et vite la camera de la camera qui elle meme espionne une autre camera ainsi de suite comme la confiance s'amenuise les gadgets s'auto-anihileront d'eux memes , ils sont tellement paranos qu'ils finiront bien par se bouffer le nez ,c'est juste que pour en arriver a cette situation il en faudra des putains d'années ,que faire , la question est ouverte sans solution , qu'est ce qu'un comportement anormal ? ENCORE une chirie a la gueule du client , pas de pot j'ai toujours eu une gueule a me faire controler ,alors la j'suis pas sorti du sable ,encore une raison (comme s'il en fallait des tonnes ) de tout foutre cul par dessus tete , la encore , combien de temps ?
Dernière édition par phil31 le Lun 18 Nov 2013 10:43, édité 1 fois.
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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede phil31 le Sam 16 Nov 2013 14:28

des gadgets qui nous pourrissent la vie , nous aurions besoin de brouilleurs d'ondes ou QQchose du genre ,comme ils deviendraient fous , chacun son tour , du gagnant/perdant ,je les imaginent derriere leur(s) ecran(s) comme des enfants idiots !
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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede pit le Mar 17 Déc 2013 13:52

Sur l’implantation des caméras de surveillance à Niort (79)
http://juralib.noblogs.org/2013/12/13/s ... -niort-79/
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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede pit le Dim 16 Fév 2014 17:37

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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede pit le Mer 13 Mai 2015 16:24

Peur sur la ville : 160 caméras supplémentaires d’ici 2016

La vidéosurveillance va encore se développer à Paris.


Nous nous y attendions, mais le chiffre est énorme. Prétextant les derniers attentats et grâce au prosélytisme des préfets, transformés comme à leurs habitudes en VRP de la surveillance, de nouvelles caméras vont être installées.

Elles coûteront comme d’habitude cher, entre 30 000 et 40 000 € par caméras soit 5,6 millions pour les 160 prévues.

Il est prévu qu’elles soient installées notamment dans les nouveaux quartiers des Batignolles (17e) et Macdonald (19e) et qu’elles servent aussi à verbaliser à distance les stationnements gênants.

Seuls les Verts s’y sont opposés lors des discussions au conseil de Paris. Comme d’habitude, lorsqu’il est question de surveillance de masse, les apôtres du flicage ont assimilé la critique et le refus de voter le projet à une "posture de principe", malgré les dizaines d’arguments répétés depuis des années et jamais contredits.

Cartographier ces caméras est un premier pas pour y faire attention et ne pas les laisser nous fliquer.

http://paris.sous-surveillance.net/spip.php?article24
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Re: vidéo-surveillance cartographiée, Sous-surveillance.net

Messagede pit le Mar 24 Jan 2017 03:25

Carte collaborative de la vidéosurveillance sur Marseille et sa région

Marseille.sous-surveillance.net est une cartographie participative, collaborative et accessible au plus grand nombre. Elle permet de rendre visible la prolifération des caméras tout en collectant un maximum d’informations les concernant.

... https://mars-infos.org/carte-collaborative-de-la-161
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