Pourtant, l’existence d’associations de santé communautaire- Grisélédis, Cabiria- et du STRASS-Syndicats des travailleurs/euses du sexe- démontre qu’illeux peuvent et doivent militer pour leurs droits en dehors de ces institutions paternalistes et moralisatrices.
fabou a écrit:Pour en revenir à ton commentaire, je ne saisis pas trop ou tu vois que la prostitution serait vue comme un "substitut" à la lutte ...
Il est donc urgent de s’attaquer aux causes réelles de la pauvreté des étudiant.e.s comme des travailleur/euse.s
Commission(s) : Commission spéciale sur la lutte contre le système prostitutionnel
Sénateur(s) : GODEFROY Jean-Pierre
Intervenant(s) : LHUILLIER Cécile (Co-présidente de Act Up-Paris), MERTEUIL Morgane (Secrétaire générale du Syndicat du travail sexuel - STRASS ;), SCHAFFAUSER Thierry (Membre du Syndicat du travail sexuel - STRASS ;)
de passage a écrit:Enfin ,
Ce tract " Stop à la répression des prostituées !" Peut aussi laisser à penser que c est un appel à la reconnaissance de la prostitution à être un djob comme un autre !Pourtant, l’existence d’associations de santé communautaire- Grisélédis, Cabiria- et du STRASS-Syndicats des travailleurs/euses du sexe- démontre qu’illeux peuvent et doivent militer pour leurs droits en dehors de ces institutions paternalistes et moralisatrices.
Alors ,
que si c'est juste une question de droits ? Il suffit de militer pour qu'on ai tous les mêmes droits !
24/04/2014 : Débat avec Céline Beaudet "Les communautés libertaires, vie quotidienne et amour libre au début du XXème"
Le SCALP – No Pasaran 34 vous invite à une rencontre-débat avec Céline Beaudet, auteure du livre "Les Milieux Libres, vivre en anarchiste à la Belle-Epoque en France", jeudi 24 avril 2014 à partir de 15h, salle Charles Camproux (Maison des Etudiants), de l’Université Paul-Valéry à Montpellier.
Les communautés libertaires : vie quotidienne et amour libre au début du XXème.
Est-il nécessaire de dire que l’existence de lieux de vie collectifs remonte à bien longtemps ? Les milieux libres des années 1900, apparus au sein de groupes anarchistes, relèvent de cette nécessité et de ce désir d’échapper aux conditions de vie imposées par le capitalisme, en se regroupant pour travailler, habiter, vivre et lutter ensemble. Les hommes et les femmes qui les créent expriment des attentes très variées, espérant parfois servir d’exemple, se mêlant souvent aux luttes et aux pratiques ouvrières d’entraide et sont traversés par une volonté insurrectionnelle d’en découdre avec l’ordre social. Au-delà des réflexions sur la production, le salariat et le travail, c’est toute la vie quotidienne qu’ils et elles remettent en cause.
fabou a écrit:.../... le SCALP 34 se positionne clairement contre toute forme de marchandisation des corps ET AUSSI contre toute forme de répression à l'encontre de personnes déjà fragiles, dont les conditions économiques les ont poussés à se prostituer.
fabou a écrit:.../...
Ouais ça fait un peu hippie dit comme ça, mais pour moi seule une émancipation globale, via la généralisation de la lutte des classes, pourra mettre fin au système prostitutionnel![]()
fabou a écrit:Le problème de la loi de pénalisation des clients, c'est que pour continuer à trouver des clients, les prostitué-e-s vont devoir aller dans des endroits plus reculés (pour s'invisibiliser de toute surveillance étatique), ou elles et ils seront davantage exposé-e-s aux violences des clients, des réseaux mafieux et des flics. Donc à mon sens, cette loi, partant d'un "bon sentiment" (rendre responsable le client de façon pénale), fait en réalité le jeu des réseaux et fragilise les personnes se livrant à la prostitution.
fabou a écrit:Je suis bien entendu contre la prostitution, et pour parvenir à son abolition complète, il faut lutter contre le patriarcat (dont la misère sexuelle est une conséquence) et contre le capitalisme (si il n'y a plus besoin d'argent, personne ne serait contraint de vendre l'utilisation de son corps).
fabou a écrit:Bulldevie et tatave, à ce jour, ni le SCALP - No Pasaran 34, ni le SCUM, ni le collectif féministe non-mixte "les tricoteuses" n'ont travaillé avec le STRASS.![]()
STRASS @STRASS_Syndicat · 2 h
merci au SCUM, aux tricoteuses en furie, et au SCALP-34 pour leur soutien http://scalp34.wordpress.com/2014/04/19 ... pellier-3/ …
Les Tricoteuses en Furie a partagé un lien.
il y a 21 heures
A Toulouse, c'est autre chose qu'à Montpellier !!! Vive le STRASS!!!!
http://scalp34.wordpress.com/2014/04/19 ... /#commentsmorganemerteuil | 19 avril 2014 à 7:32 | Réponse
merci à vous touTEs, SCUM, Tricoteuses, SCALP, pour votre soutien face à la répression !
fabou a écrit:Tatave, bien sur qu'il ne faut pas prendre pour argent comptant le discours tenu par le STRASS, c'est justement pour ça que dans mon interrogation, je précisais "dans un cadre syndical". C'est à dire dans un cadre de revendications immédiates portant sur des revendications concernant les conditions de vie quotidiennes, et non dans un cadre d'action politique révolutionnaire, ou il serait bien entendu malvenu de reprendre ce type de discours.
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