Par thefdm : Un documentaire sur l'insécurité. L'insécurité ? oui celle que l'on a inventé pour que les gens aient peur. Brave gens n'ayez plus peur un reportage sur les pratiques médiatiques pour nous faire craindre l'inconnu et ainsi mieux nous diviser.
"Ne rien dire et surtout ne rien faire quand d'autres sont bâillonnés ou réduits au silence, c'est se faire complice de l'autoritarisme"
Notre troisième reportage-semence est le partage de la prise d´une terre dans la province de Cordoba, en Argentine.
Le 23 août 2009 les camarades de la Coordination des travailleurs sans emplois (CTD) décident de prendre possession de ces terres qui étaient autrefois un dépotoire pour y construire un avenir pour leurs enfants et la dignité pour le peuple.
Cet acte de résistance dure depuis un an.
Ce documentaire est notre humble contribution audiovisuelle à la célébration de leur résistance et constance face aux attaques du système.
Nous sommes le samedi 29 décembre 2012, 9è jour de Nivôse dédié au Salpêtre. et le samedi matin, je vous le rappelle, et c’est noté dans votre cahier de textes, c’est Histoire !
Le massacre de Wounded Knee a eu lieu aux États-Unis d’Amérique (Dakota du Sud le 29 décembre 1890. Environ 200 amérindiens de la tribu Lakota Miniconjou (dont
plusieurs dizaines de femmes et des enfants) ont été tués par l’armée des États-Unis. Le terme « massacre » a été employé par le Général Nelson A. Miles dans une lettre du 13 mars 1917 au commissaire aux affaires indiennes. Cet épisode douloureux de l’histoire Américaine est contée dans un livre exceptionnel que l’on doit à Dee BROWN, lui même indien, j’avoue avoir été assez bouleversé à l’époque à la lecture de:
ENTERRE MON COEUR A WOUNDED KNEE Largement fondé sur des documents inédits – archives militaires et gouvernementales, procès-verbaux des traités, récits de première main…, ce document exceptionnel, publié chez Albin Michel en 1971, retrace, de 1860 à 1890, les étapes qui ont déterminé « La Conquête de l’Ouest ». De la Longue Marche des Navajos au massacre de Wounded Knee, il se fait ici la chronique de la dépossession des Indiens de leurs terres, leur liberté, au nom de l’expansion américaine
À l'heure où la frénésie consumériste du temps des Fêtes bat son plein, ce documentaire fait une analyse grinçante de l'évolution du comportement des consommateurs américains. Derrière l'attitude des acheteurs boulimiques, se profile entre autres, l'épuisement des ressources et l'accumulation des déchets. Des sociologues, psychologues et philosophes analysent les limites du credo d'aujourd'hui : « Je consomme donc je suis », de cette quête du bonheur à travers la possession de l'objet dernier cri. Un documentaire sans concession sur les limites du capitalisme et du rêve américain.
Catégorie Actualités et politique
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"Ne rien dire et surtout ne rien faire quand d'autres sont bâillonnés ou réduits au silence, c'est se faire complice de l'autoritarisme"
Court métrage sur la galère administrative des sans-papiers pour obtenir leur régularisation. Basile Krasnopolsky et Baptistin Leblanc, avec le concours du collectif des sans-papiers du XIXème arrondissement de Paris. + Vidéo Sans Papiers à Lille : Deux mois de grève de la Faim, et après ?
mis en ligne le 11/02/2013 Court métrage sur la galère administrative des sans-papiers pour obtenir leur régularisation. Basile Krasnopolsky et Baptistin Leblanc, avec le concours du collectif des sans-papiers du XIXème arrondissement de Paris.
Sans Papiers à Lille : Grève de la Faim, et après ?
"Ne rien dire et surtout ne rien faire quand d'autres sont bâillonnés ou réduits au silence, c'est se faire complice de l'autoritarisme"
Ah la France... ce beau et grand pays! Pays des lumières, pays de la liberté, pays des droits de l'homme. Quelle belle vitrine! Mais comme bien souvent avec la publicité, le produit ne correspond pas vraiment à ce qui était venté au début. C'est le cas des droits de l'Homme en France, avec au premier plan les forces répressives d'Etat qui les foulent au pied. Et oui l'armée française, tant vantée par les présidents successifs, a développé des techniques anti-subversives (pas pour préparer une invasion mais pour contrer les rebelles dans le pays ou dans les colonies) inhumaines, comme par exemple la torture, celle là même contre laquelle on s'offusque maintenant que Bush légalise son usage. Et oui la torture est une belle spécialité du pays des droits de l'homme. La France a inventé les escadrons de la mort, et a exporté ses techniques en amérique du sud et aux états unis. Ces techniques militaires que la France condamne quand on parle de Pinochet ou encore de Bush, c'est bien elle qui les a inventés. Pour finir, quand la vérité fait surface sur la guerre d'Algérie, les médias s'empressent de nous faire croire que les tortures étaient des cas isolés d'individus dérangés...
23 juillet • Bagnolet (93) Projection-débat de "Libertarias" "Libertarias" est un film espagnol de Vicente Aranda (1996), consacré à l'Espagne de 1936 vue du point de vue d'un groupe de femmes libertaires de l'organisation des Mujeres Libres ("Femmes libres") et membres de la "Colonne Durruti". Un film jamais sorti en France. Avec Ana Belén, Victoria Abril, Ariadna Gil... Ensuite, discussion ouverte sur les thèmes abordés dans le film. Lieu : La Bouquinerie, bibliothèque autogéré, 135, avenue Pasteur, Bagnolet (93). M° Mairie-des-Lilas. A 18h30.
Le film est visible aussi sur YouTube, avec des sous-titres anglais, grecs, etc., mais pas français. Sorry !
Un portrait de la mouvance autonome, certes méconnue, minoritaire et hétérogène, mais omniprésente, qui englobe, par exemple le MLF ou les mouvements de chômeurs des années 80 et 90. Grâce à la multiplication des foyers de lutte et des expériences de vie en dehors de toutes structures, ces tentatives éparses d'organisation sans hiérarchie constituent une composante du paysage politique et social.
Qu'y'en a pas un sur cent et qu'pourtant ils existent, Et qu'ils se tiennent bien bras dessus bras dessous, Joyeux, et c'est pour ça qu'ils sont toujours debout !
Vu sur http://chronique-hebdo.blogspot.fr/ Vous pouvez d'autre part regarder le documentaire de Yannis Youlountas, Ne vivons plus comme des esclaves.En Grèce des individus résistent, et commencent à fonder une nouvelle société, selon d'autres critères que celui que le système capitaliste impose.... Et face à ces initiatives, le pouvoir montre sa force...
"Ne rien dire et surtout ne rien faire quand d'autres sont bâillonnés ou réduits au silence, c'est se faire complice de l'autoritarisme"
Posted on 3 mars 2014 by juralib Face à la “Crise” actuelle et à son lot de destructions, nous avons décidé de construire une “base” dans le quartier. Cette idée, qui nous traversait depuis quelques temps déjà, devient incontournable dans la situation actuelle : une base comme lieu à partir duquel commencer à construire en commun –ouverte à tous ; une base comme lieu où l’on peut se rencontrer et conspirer, imaginer et expérimenter – face à l’intolérable nous nous organisons, nous construisons des réalités habitables, des espaces de sécession.
Nous aimons définir “La Base, athénée coopératif”, à partir des trois objectifs que nous nous sommes fixés :1) Se doter d’une infrastructure économique autogérée, pour commencer à résoudre ensemble la question de nos besoins matériels (économie, espaces de vie et d’activité, alimentation, soin, savoirs…).2) Construire de la communauté, c’est-à-dire mettre en jeu des pratiques dans le but de retisser les vies du quartier entre elles sur une base d’entraide et de confiance ; s’approprier, en tant que classes populaires, notre histoire commune, ce qu’il se passe et ce qui nous arrive, afin d’inventer ensemble des solutions.3) Ériger une position politique, liée à ces principes et à ces pratiques. Une position qui rende clair ce qui est hostile et ce qui est ami. Un lieu d’où prendre parti dans les conflits qui nous traversent.Nous voulons que La Base soit un espace qui aille au-delà de la question des identités politiques, professionnelles ou culturelles. Un espace où, partant de certaines réalités partagées (lieu de rencontre, coopérative de consommation, club d’informatique, cantine populaire, bourse du travail, crêche…) et d’une certaine disposition à l’écoute et à l’entraide, nous pouvons re-construire de la communauté : là, dans la rue, au pas de sa porte, entre ceux et celles qui habitent le quartier –sans oublier, bien évidement, de nous relier avec ceux qui s’organisent dans d’autres quartiers, d’autres territoires, d’autres continents.La destitution de l’ordre capitaliste avance par fragments, mais cette aspiration est planétaire et c’est avec elle, partout, que nous cherchons à nous lier.Intersquat69 mailing list, 26 février 2014
"Ne rien dire et surtout ne rien faire quand d'autres sont bâillonnés ou réduits au silence, c'est se faire complice de l'autoritarisme"